Peau d'âme, le corps des légendes
Séances
MARS
Mercredi 26
Jeudi 27
Résumé
Sur scène, une danseuse et un musicien donnent vie à trois légendes emblématiques, racontant l’histoire de femmes exilées, bannies et confrontées à des mondes hostiles. Peau d'âme, le corps des légendes, explore le corps comme un lieu de résistance.
Accompagnée des percussions envoûtantes de Georges Pennetier, la danseuse Nathalie Tissot incarne ces figures féminines mythiques, opprimées et réduites au silence. Ensemble, ils tissent une toile sonore et mouvante, propice à un voyage où danse et musique se mêlent.
Dans des contrées inconnues, ces femmes affrontent l’invisible pour survivre, privées de leur environnement, de leur identité, de leur nature même. Mais chaque pas, chaque mouvement devient acte de résistance.
Ces légendes, ne sont pas des récits du passé, mais des échos brûlants des réalités contemporaines. Elles résonnent avec les combats actuels pour la reconnaissance et la libération des femmes. De l'exil forcé à la renaissance, ce spectacle met en lumière le pouvoir inaltérable de celles qui, malgré tout, retrouvent leur voix et leur pouvoir dérobés ou perdus.
Extrait du texte (Nathalie Tissot, Emmanuelle Péchenart) :
« Nous sommes sœurs de légendes, vous nous croisez tous les jours dans vos rêves éveillés, toutes les nuits dans vos rêves endormis.
Nous nous sommes frayé un chemin sous la glace du temps, d'un trou de respiration à un autre, pour conter notre histoire d'exil…
Femmes de peau, d'os et de chair, nous avons progressé sous l'eau, à travers les bois, à travers la roche et la glace, à travers la vase et le sable. À travers la selve souterraine.
Mutilées, exilées de nos corps, de notre corps-foyer, nous avons su nous reconstituer, comme l'arbre perd ses feuilles et revigore ses racines… »
Une proposition inspirée de Peau d’âme/ La femme phoque - La Femme squelette et La Jeune Fille sans mains.
À travers ces légendes et ces archétypes, la compagnie Messidor propose une exploration profonde du corps féminin, de sa résilience et de sa capacité à renaître.
Références :
• Kopakonan, (La femme du Phoque ) - conte des Iles Féroé
• La femme phoque et La femme squelette - conte Inuit.
• La jeune fille sans mains - conte médiéval - 1er conte des Frères Grimm.
• La jeune fille aux mains coupées – Anthologie de contes de Chine - CHIU Blanche Chia-ping
• « Femmes qui courent avec les loups » de Clarissa Pinkola Estés.
• De Pierre et d’os - Bérengère Cournut
• Os, chair, peau, Oh chère peau ! tiré de La tradition secrète du théâtre No - Zeami »
Accompagnée des percussions envoûtantes de Georges Pennetier, la danseuse Nathalie Tissot incarne ces figures féminines mythiques, opprimées et réduites au silence. Ensemble, ils tissent une toile sonore et mouvante, propice à un voyage où danse et musique se mêlent.
Dans des contrées inconnues, ces femmes affrontent l’invisible pour survivre, privées de leur environnement, de leur identité, de leur nature même. Mais chaque pas, chaque mouvement devient acte de résistance.
Ces légendes, ne sont pas des récits du passé, mais des échos brûlants des réalités contemporaines. Elles résonnent avec les combats actuels pour la reconnaissance et la libération des femmes. De l'exil forcé à la renaissance, ce spectacle met en lumière le pouvoir inaltérable de celles qui, malgré tout, retrouvent leur voix et leur pouvoir dérobés ou perdus.
Extrait du texte (Nathalie Tissot, Emmanuelle Péchenart) :
« Nous sommes sœurs de légendes, vous nous croisez tous les jours dans vos rêves éveillés, toutes les nuits dans vos rêves endormis.
Nous nous sommes frayé un chemin sous la glace du temps, d'un trou de respiration à un autre, pour conter notre histoire d'exil…
Femmes de peau, d'os et de chair, nous avons progressé sous l'eau, à travers les bois, à travers la roche et la glace, à travers la vase et le sable. À travers la selve souterraine.
Mutilées, exilées de nos corps, de notre corps-foyer, nous avons su nous reconstituer, comme l'arbre perd ses feuilles et revigore ses racines… »
Une proposition inspirée de Peau d’âme/ La femme phoque - La Femme squelette et La Jeune Fille sans mains.
À travers ces légendes et ces archétypes, la compagnie Messidor propose une exploration profonde du corps féminin, de sa résilience et de sa capacité à renaître.
Références :
• Kopakonan, (La femme du Phoque ) - conte des Iles Féroé
• La femme phoque et La femme squelette - conte Inuit.
• La jeune fille sans mains - conte médiéval - 1er conte des Frères Grimm.
• La jeune fille aux mains coupées – Anthologie de contes de Chine - CHIU Blanche Chia-ping
• « Femmes qui courent avec les loups » de Clarissa Pinkola Estés.
• De Pierre et d’os - Bérengère Cournut
• Os, chair, peau, Oh chère peau ! tiré de La tradition secrète du théâtre No - Zeami »
Distribution
Chorégraphie et danse : Nathalie Tissot
Composition et percussion : Georges Pennetier
Lumière : Julien Pulicani
Assistante chorégraphe : Léa Doussaint
Texte : Emmanuelle Péchenart, Nathalie Tissot
Costume : Nathalie Tissot, Emmanuelle Dahan
Enregistrement : Yann Costa
Composition et percussion : Georges Pennetier
Lumière : Julien Pulicani
Assistante chorégraphe : Léa Doussaint
Texte : Emmanuelle Péchenart, Nathalie Tissot
Costume : Nathalie Tissot, Emmanuelle Dahan
Enregistrement : Yann Costa
Mentions
Accueil en résidence :
L’ArrOndi - Soulaires / Le Moulin à Tan- Châteaudun / Le TEP - Chartres.
La création est soutenue par le Conseil Départemental d’Eure et loir et le FDVA- Région Académie CVDL
Accompagnement Facteur Commun
photo: ©Christophe Pénicaud
Vidéo: ©Brice Vincent
L’ArrOndi - Soulaires / Le Moulin à Tan- Châteaudun / Le TEP - Chartres.
La création est soutenue par le Conseil Départemental d’Eure et loir et le FDVA- Région Académie CVDL
Accompagnement Facteur Commun
photo: ©Christophe Pénicaud
Vidéo: ©Brice Vincent